« SEIGNEUR, tu es mon Dieu ; je t’exalterai, je
célébrerai ton nom, car tu as réalisé des projets étonnants, depuis longtemps
fermes et solides. Car tu as réduit la ville en un tas de pierres, la cité
forte en un monceau de ruines ; le palais des étrangers a disparu de la
ville, jamais il ne sera rebâti. C’est pourquoi le peuple puissant te glorifie,
la ville des nations brutales te craint. Car tu as été une forteresse pour le
faible, une forteresse pour le pauvre dans la détresse, un abri contre l’averse
violente, un ombrage contre la chaleur ; car le souffle des brutes est
comme la pluie battant un mur. Comme tu domptes la chaleur sur un lieu
desséché, tu as dompté le vacarme des étrangers ; comme la chaleur est
étouffée par l’ombre d’un nuage, ainsi l’a été le chant des brutes. Le SEIGNEUR
des Armées fera pour tous les peuples, dans cette montagne, un banquet de mets
succulents, un banquet de vins vieux, de mets succulents, pleins de moelle, de
vins vieux, clarifiés. Dans cette montagne, il anéantira le voile qui voile
tous les peuples, la couverture qui couvre toutes les nations ; il
anéantira la mort pour toujours ; le Seigneur DIEU essuiera les larmes de
tous les visages ; il fera disparaître de toute la terre le déshonneur de
son peuple — c’est le SEIGNEUR qui parle » (Esaie 25) .
Déjà en Christ, en Cana, et tout au long de son ministère, cette prophétie s’accomplit. Nous en verrons le plein accomplissement au ciel.